serie
Encres trois panneaux
/1964 - 1969/
notice
La densité et le poids de l'encre, s'opposant résolument à l'évanescence de l'aquarelle, procurent une dimension tragique que Jean Raine ne renie pas : "On ne m'ôtera pas l'encre du sang" dit il dans "Simulacres d'innocence" 1972.
C'est l'une des plus belle période de son oeuvre.
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Fugue sans illusion (1964)
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Poussant le corbillard (1964)
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Grève générale en coulisse (1964)
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Séance de coiffure (1964)
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L’enterrement d’Alcibiade (1964)
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Apparence d’achèvement (1964)
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Visite guidée (1964)
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La combine (1964)
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Au son des cornemuses (1964)
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La nuit d’Oostkamp (1964)
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Avant le déluge (1964)
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La vie mondaine (1964)
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De becs et d’ongles (1964)
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Les soupçons d’Arthus (1964)
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Tentée par Saint-Antoine (1965)
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L’hésitation du magicien (1965)
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Les sphynx de Baalbeck (1965)
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Tandis que (1965)
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Les joyeux tréponèmes (1966)
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Perte de jambes (1966)
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Enjeu de la palabre (1966)
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La stupeur de Cugnot (1966)
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Ralentissement de la fuite par la tortue (1966)
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Fin de bal (1966)
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Un jour aux Batignolles (1966)
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Frivolité sous l’occupation (1966)
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Impunité de l’oeil (1966)
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L’amour dans l’âme (1966)
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La proie de l’ombre (1967)
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Le désastre des éperons d’or (1967)
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Le jeu des Sycophantes (1967)
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Esclavage clandestin (1967)
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Pacte avec la vermine (1967)
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Fatigue pressentie (1967)
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Simple résolution (1967)
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L’embuscade du mont Popon (1967)
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Incompatibilité des éléments (1969)
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Satisfaction décisive (1969)