De becs et d’ongles
date :
1964
catalogue raisonné
0529
media
Encre sur papier de coupe marouflé sur toile
hauteur
152.00
largeur
296.00
inscriptions
Non signé
collection Privée
notice
Les cornes qui coiffent souvent ces êtres les rapprochent plus encore du monde animal et accentuent leur aspect totémique. Ils nous introduisent dans "un monde d'animalité/humanité, conjointement transfigurés, non dans le grandiose mais dans une affectueuse familiarité, même si parfois certains visages grimaçant, révèlent un masque tragique." (Françoise Armangaud, "Bestiaire Cobra", p.62) MD