serie
Première série d’encres
/1969/
notice
"Chaque fois que je me mets à peindre, je me lance avec frénésie dans ce qu'on appelle une série, comme si, de tableau en tableau, se développait une chaîne qui devait être un cycle complet, symboliser toute une vie, faire une oeuvre à chaque fois. A chaque toile, je me demande si ce ne sera pas la dernière. En fait, elle l'est. J'en commence une autre pour ressusciter. La série achevée, hors d'haleine, le purgatoire, la dépression de la post parturiante, la mise hors de combat."
En 1969, après cette série, Jean Raine fut hospitalisé à Saint Alban en Lozère.
-
Géométrie funèbre (1969)
-
Sélection décisive (1969)
-
Au coeur des choses (1969)
-
Le phonaigle (1969)
-
Étonnement (1969)
-
Pollen d’une infirmière (1969)
-
Abat-joue (1969)
-
L’angle de la publicité (1969)
-
Trappe à musique (1969)
-
D’une gaité phallique (1969)
-
Nombril aux cent visages (1969)
-
Hantise des vertébrés (1969)
-
Sensibles contre-fesses (1969)
-
Autour d’une pipe (1969)
-
Le seuil de l’insouciance (1969)
-
Eu égard au scandale (1969)
-
Prèche d’Arlequin (1969)
-
Ablation de machoire (1969)
-
L’archange (1969)
-
Triomphe pour socle fragile (1969)
-
Dahlia pour dames seules (1969)
-
Non titré (1969)
-
Humble décision (1969)
-
Sentiers mal connus (1969)
-
Aux gestes indifférents (1969)
-
Le sprint (1969)
-
Euclide et l’infini (1969)
-
Presque une absence (1969)
-
Accélération déductive (1969)
-
La roue du solitaire (1969)
-
Vertu des transparences (1969)
-
De nature estompée (1969)
-
Oblique d’un face à face (1969)
-
Innocent égaré (1969)
-
Silencieux vibrato (1969)
-
Concerto pour débris (1969)
-
Les jaloux (1969)
-
Frisson de la momie (1969)
-
Projection délicate (1969)
-
Admirant la Joconde (1969)