Dans "la Dernière Heure" Alain Viray écrit : "Jean Raine projette sur la toile ses hantises, ses angoisses, ses fièvres. [...] Avec véhémence, avec un souci constant de coller aux délires de l'âme, Jean Raine nous entraîne dans une prodigieuse aventure graphique. Sur des surfaces importantes, dans une véritable frénésie du pinceau illustrant en noir et blanc les monstres de l'imagination, le peintre nous transporte de plein pied dans un univers dont le baroquisme délirant a la fascination des cauchemars. Ici la déformation, la mutilation, le raccourci rageur des personnages et bêtes dessinés correspond très exactement à un climat souhaité et surtout engagé par l'âme. MD