Valère Bertrand parle quant à lui des "tempètes de monstres à la Goya, un enfer souterrain où la mort s'obstine et le doute envahit les moindres recoins. c'est le reflet de son âme [...] C'est là qu'il découvre qu'il n'a pas de contours. Que cette forme tapie derrière lui qui lui fait si peur, toujours à guetter et parfois si sombre : il en fait partie et qu'elle est en lui". ("Jean Raine de la bouteille à l'encre", "Cimaises" o 231-232, septembre- octobre 1994). cité par MD